Keziah Jones, mega respect... Vraiment un super concert ! Une voix de folie, encore plus impressionnant que sur bande, et des abdos, plus impressionnats que les miens (si si)... Il repasse en février, et je me tate pour y aller... Bon, y aura déjà Bashung et Ayo (merki nana) à cette période alors....

La semaine suivant j'ai été voir Cocoon (merki Nico et LN !!), un joli concert, même si la comparaison après Keziah est difficile, mais bon, ils ont 20 ans, et pas mal de talents.... Mais si certains sont autistes sur scène, à eux, on peut presque leur faire la critique inverse, un peu moins de conneries entre les chansons !! C'est drôle, mais ça casse le rythme !! A suivre en tout cas.... 

Vendredi 5 décembre, c'était débarquement des Gersois à Toulouse au 3T pour le spectacle des "Nonnes Troppo"... Grand moment, les Beefs retrouvaient une partie de leur adolescence avec ces chansons cons, et de gros fous rires ! Tite en short et en T-shirt dans les rue de Toulouse, alors que tout monde était couvert comme jamais ! ;-)

A refaire en 2009, c'est promis !

Que de promesses.... 

Bon, un site en friche complet, je vous l'accorde, merci à ceux qui s'en sont plains (euh y a Beuf, et Nanabel je crois... ça fait deux.. merci)

C'est que j'ai fait plein de trucs cette année, concours d'infirmier obtenu, me voilà à l'école... à 36 ans... avec des gamins qui dès le premiers jours m'ont vouvoyé ! Bon, j'ai mis les choses en place ;-) et tout va bien now.... Et j'aurai même des très bonnes notes si j'en crois mes impressions après ces premiers partiels...

Je promets de faire mieux ici en 2009, c'est tout bientôt !

http://www.dailymotion.com/video/x1seb0_les-inconnus-les-infirmires_fun

Ah le pti con.... pdt que papa faisait des galipettes à la chambre, le pti merdeux a fait le grand plongeon ! Maaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhaaaaaaaaawoooooooooooouuuuuuuuuuuuuuuu ! Une chute de 8 étages, messieurs dames, et une grosse peur quand je me suis rendu compte qu'il était plus à l'appart... Le chercher une bonne partie de la nuit, pour le retrouver après m'être couché 2 heures, à 5 heures du mat en bas de l'immeube, apeuré, et blessé... mais vivant !

Ouf, après mon taf aux urgences, je suis reparti aux urgences animales, un dimanche bien sûr (c'est trop bon marché la semaine... ah le pti con !), une radio et un examen plus loin, le bilan est rassurant : un pneumothorax qui n'a pas besoin d'être drainé, et à la gueule plusieurs points... Rassuré, et allégé de 120 euros...

Le mercredi qui suit, retour chez le veto, car les points, beh il les a arraché le pti con (re....).... Donc une anesthésie de plus, points à nouveau, et magnifique colerette... et 80 euros de plus !

Voilà, bon, je parle d'argent car notre Sarkopte s'est loupé sur le pouvoir d'Aïcha, et que le mien, grâce à Gunther, fond comme neige au soleil... mais bon, on est vivant ! 

Retour au ciné... Je m'y fais un peu rare ce premier semestre, mais difficile de tout mener de front... En attendant, "into the wild", que je voulais voir depuis bouhhhhhh 6 mois (merci à l'utopia de défendre ses choix suffisament longtemps), est un film magnifique... J'en suis sorti bouleversé... Quand on sait en plus que c'est à la base une histoire réellement vécue, c'est encore plus fort.

Ce gamin, Chris, qui ne croit plus en grand chose depuis la découverte d'un secret de famille, décide de tout plaquer et d'aller vivre la vraie vie, celle où on cotoie des gens vrais, des sentiments sincères, la nature.... A l'inverse de celle qu'on lui promet, Harvard, un grand cabinet, une belle situation, bref la même vie que celle vécue par ses parents et qui finalement ne repose que sur des mensonges.

Le voilà donc parti, une fois liquidés toutes ses économies, et toutes les traces qui auraient permis de le retrouver, à l'aventure. Un magnifique road trip, qui va le faire croiser des gens magnifiques, et qui lui apporteront chacun leur part sur son chemin vers la sagesse, et vers l'Alaska. Ah l'Alaska, son projet, vivre dans la nature, faire partie de la nature, aux mépris des dangers, oublier toute la société, la fuir, s'en défaire, et revenir à soi-même... 

Jusqu'à une évidence, qu'il écrit à la fin du film : le bonheur n'existe que s'il est partagé... Je ne vous en dit pas plus... Merci Sean Penn...